On Vous Dit Tout
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
On Vous Dit Tout

chercher la vérité au delà des apparences et des illusions


 
AccueilAccueil  PortailPortail  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €

 

 l'immigration c'est cela aussi

Aller en bas 
AuteurMessage
antitout
Modo
antitout


Nombre de messages : 147
Localisation : amerique du nord ouest
Date d'inscription : 20/11/2007

l'immigration c'est cela aussi Empty
MessageSujet: l'immigration c'est cela aussi   l'immigration c'est cela aussi Icon_minitime8/4/2012, 15:54

citation de manu sur ONCT


Nous européens, pleurons de notre perte d'identité face aux diverses cultures qui viennent chez nous et finissent par leur grand nombre, à nous imposer leur culture au dépend de la notre... mais à quelque part, c'est un juste retour de bâton, car quand l'Europe colonisait à tout va et imposait sa culture de force, l'autre avait tout intérêt à accepter notre culture sous peine de se voir tuer, torturer, violer, vendre et utilisé comme esclave... L'européen s'est toujours imposer aux autres en se considérant chez lui partout où il pose le pied, maintenant on commence à voir les choses d'un autre point de vue, et on a encore de la chance, c'est en version light...


petite histoire de l'afrique du nord

Maroc:

Habité dès la préhistoire par des populations berbères, le territoire marocain a connu des peuplements phéniciens, carthaginois, romains, vandales, byzantins avant d'être islamisé par les Arabes


les berberes:

Les Berbères (en berbère Imazighen, en tifinagh : ⵉⵎⴰⵣⵉⵖⴻⵏ et au singulier Amazigh, en tifinagh : ⴰⵎⴰⵣⵉⵖ) sont un ensemble d'ethnies autochtones d'Afrique du Nord. Ils occupaient, à une certaine époque, un large territoire qui allait de l'Ouest de la vallée du Nil jusqu'à l'Atlantique et l'ensemble du Sahara et y fondèrent de puissants royaumes, formés de tribus confédérées. Connus dans l'Antiquité sous les noms de Libyens, Maures, Gétules, Garamantes ou encore Numides, ils connurent ensuite la conquête romaine, la christianisation, l'invasion vandale, la conquête arabe et la conversion à l'islam.


le territoire marocain a connu des peuplements phéniciens, carthaginois, romains, vandales, byzantins avant d'être islamisé par les Arabes.


L'attrait des richesses provenant du commerce du Sud (le Sahara) vers le Nord (l'Occident) va attirer les convoitises de diverses tribus avec pour ville carrefour Marrakech (la porte du désert) qui deviendra naturellement la capitale de diverses dynasties, en particulier celles venant du Sud (Almoravides, Almohades, Saadiens) ; c'est la raison pour laquelle, toute l'histoire du Maroc (des Idrissides aux Alaouites) fut marquée par le commerce des richesses du Sud vers le Nord. L'histoire et l'origine du Maroc furent, sont et seront marquées par le lien avec le Sahara[3].

jusqu'ici on ne mentione que les Romains (comme europeens) pas de Francais! pas de Suisses non plus c'est quand meme bizarre d'accuser de suite l'europe d'avoir colonisé et je recite ce que Manu dit:

mais à quelque part, c'est un juste retour de bâton, car quand l'Europe colonisait à tout va ......

on passe a l'algerie:


La civilisation capsienne, ancêtre des Berbères[13], apparaît avec la révolution du Néolithique entre 9 000 et 7 500 av. J.-C. et dure jusqu'à l'apparition de l'âge du fer vers 2000 av. J.-C. Les Capsiens, ancêtres directs des Numides Berbères, apparaissent dans le sud constantinois d'abord, avant de se répandre dans l'ensemble du Maghreb. Les Capsiens qui habitaient des campements faits de huttes et de branchages[14] s'installaient généralement sur des sites à proximité d'un oued ou d'un col montagneux. À cette époque la plupart du Maghreb ressemblait à une savane, comme en Afrique de l'Est aujourd'hui, avec des forêts méditerranéennes uniquement en haute altitude[15].

Antiquité (-1250 à l'an 250)[modifier]Article détaillé : Histoire de l'Algérie dans l'Antiquité.L'histoire de l'Algérie dans l'Antiquité est marquée par l'émergence des royaumes de l'Âge de Fer qui s'étalent sur une période d'environ 1500 ans. Ces royaumes sont d'abord les Gétules au sud du pays, et la fondation des comptoirs Phéniciens au Nord, ensuite les Garamantes et finalement les Numides. Le territoire de l'actuel Algérie fut ensuite progressivement conquis par Rome et transformé en province romaine. Il s'étendait sur les provinces d'Afrique proconsulaire, de Numidie et des Maurétanies. Ces provinces africaines sont marquées par une grande prospérité jusque dans l'antiquité tardive.

et voila encore l'empire Romain

Les Berbères, christianisés par Rome[23], résistèrent de façon différenciée à chute de Rome, puis des Vandales, et l'instabilité durant la période byzantine. Certains s'enfuirent[24] en Sicile[25]. D'autres, notamment dans les Aurès, vont résister à l'arrivée des musulmans entre 670 et 702


l'invasion Arabe:

Les figures les plus connues de ce conflit furent le roi chrétien Koceila, qui vainquit Oqba Ibn Nafaa en 689, près de Biskra, puis la reine guerrière Kahena (de son vrai nom Dihya), qui à la tête des Berbères (des Djerawas, des Banou Ifren de l'Aurès[26] et des Nefzaouas de Libye Tripolitaine, ainsi que des Roums de la côte, infligea, en 693, à la bataille de la Meskiana, une sévère défaite au corps expéditionnaire arabe de l'émir Hassan Ibn Numan, qu'elle repoussa jusqu'en Tripolitaine. Mais elle perdit la bataille suivante en partie à cause de la trahison d'un jeune Arabe qu'elle avait adopté (Khaled) et en partie parce que ses hommes, en pratiquant la politique de la terre brûlée pour décourager l'invasion, suscitèrent l'opposition des cultivateurs Roums qui passèrent du côté arabe. Kahena mourut au combat dans l'actuel Est algérien (Puits de Kahena, « Bir al Kahena »).

De nombreux Berbères se convertirent ensuite en masse à la religion musulmane. Certains adoptèrent même la langue des conquérants, surtout à l'Est de l'Ifriqya. La conquête musulmane de l'Espagne et du sud de la France qui s'ensuivit fut menée par un contingent arabo-berbère comptant beaucoup de récents convertis, à commencer par son chef Tariq ibn Ziyad, qui donna son nom à la colline de Gibraltar (Djebel Tarik). Après un conflit avec le gouverneur du Maghreb Moussa Ibn Noçaïr, Tariq Ibn Ziad fut envoyé enchainé au calife de Damas et il mourut en route.

l'invasion Arabe en europe passe par l'espagne


La bataille de Poitiers ou bataille de Tours (en arabe : معركة بلاط الشهداء (maʿrakat Balāṭ aš-šuhadāʾ), « bataille du Pavé des Martyrs »[1]), se déroule le 25 octobre 732 et oppose le Royaume franc et le Duché d'Aquitaine au Califat omeyyade. Les Francs et les Aquitains, menés respectivement par le maire du palais Charles Martel et le duc d'Aquitaine Eudes, y obtiennent une victoire décisive face aux Omeyyades, menés par le gouverneur d'Al-ʾAndalus ʿAbd Ar-Raḥmān ibn ʿAbd Allāh Al-Ġāfiqiyy, qui meurt lors du combat

Califat omeyyade;


Les Omeyyades ou Umayyades (en arabe : الأمويون (Al-ʾUmawiyyūn), ou بنو أمية (Banū ʾUmayya)) sont une dynastie de califes qui gouvernent le monde musulman de 661 à 750. Ils tiennent leur nom de leur ancêtre ʾUmayya ibn ʿAbd Šams, grand-oncle[2] de Mahomet. Ils sont originaires de la tribu de Qurayš, qui domine La Mecque au temps de Mahomet.

Succédant au calife ʿAlī ibn ʾAbī Ṭalib, ils prennent Damas comme capitale et fondent le Califat omeyyade, qui devient le plus grand État musulman de l'Histoire en s'étendant de l'Indus jusqu'à la péninsule Ibérique. Renversés par les Abbassides, l'un de leurs survivants fuit à Al-ʾAndalus et fonde un nouvel État à Cordoue


Cordoue;

Cordoue (en espagnol : Córdoba, en arabe : قرطبة Qurṭuba) est une ville située dans le sud de l'Espagne, en Andalousie. Cordoue est la capitale de la province du même nom.

Les musulmans conquirent la ville en 711. Elle devient alors le principal centre administratif et politique de l'Espagne musulmane. À partir de 756, elle est la capitale de l'émirat de Cordoue, fondé par le prince omeyyade Abd al-Rahman Ier, puis à partir de 929 d'un califat indépendant, après que l'émir Abd al-Rahman III a rompu tout lien avec les Abbassides de Bagdad et s'est lui-même proclamé calife. Les règnes d'Abd al-Rahman III (912-961), de son fils al-Hakam II (961-976) et du hadjib (vizir) al-Mansur ibn Abi Amir (981-1002) constituent la période la plus glorieuse de l'histoire de la ville, même si les califes eurent tendance à la négliger au profit de leur nouvelle capitale, Madinat al-Zahra, fondée en 936

Situation des Francs

Au nord de la Loire, le maire du palais Charles Martel bat Rainfroi, allié d'Eudes, et rassemble sous son autorité le Royaume franc, qui devient la principale puissance chrétienne d'Europe de l'Ouest. Il lance également une expédition pour soumettre l’Aquitaine l’année précédant la bataille de Poitiers : Eudes se retrouve pris entre deux feux

Campagne précédant la bataille;

Environ une décennie après la défaite des Omeyyades à Toulouse, ʿAbd Ar-Raḥmān lance une nouvelle expédition au-delà des Pyrénées, principalement constituée de Berbères et de contingents recrutés dans la péninsule Ibérique[6]. Parmi les participants à l'expédition omeyyade, les chroniques mozarabes font la distinction entre « Sarrasins », Arabes venus d’Arabie et de Syrie notamment, plus anciennement islamisés, et « Maures », Berbères venus d'Afrique du Nord (antique Maurétanie). Le nombre élevé de Berbères parmi les conquérants musulmans explique que ces derniers soient aussi globalement désignés sous le terme de Maures. L'incursion de ʿAbd Ar-Raḥmān n'a pas pour but principal la conquête mais le pillage[7]. Les Omeyyades envahissent l’Aquitaine, razzient le pays et prennent Bordeaux. Eudes réunit une armée pour les contrer, mais il est battu entre la Garonne et la Dordogne et prend la fuite

on peut constater que les musulmans ont envahis la France bien avant que celle ci ne pense meme a coloniser les Envahisseurs!

ʿAbd Ar-Raḥmān continue son avancée, marche sur Poitiers, pille et peut-être incendie l’église Saint-Hilaire le Grand[8],[9]. N'ayant pas la puissance militaire suffisante pour aller plus loin, il se dirige ensuite vers Tours et se fixe probablement comme unique objectif la mise à sac du sanctuaire national des Francs, la riche basilique Saint-Martin de Tours

Pendant une semaine, des escarmouches ont lieu, aux confins du Poitou et de la Touraine[21]. Après ces escarmouches, l’affrontement décisif a lieu, sur deux jours. Abd el Rahman lance sa cavalerie sur les Francs. Ceux-ci, formés en palissade « comme un mur immobile, l'épée au poing et tel un rempart de glace », les lances pointées en avant des boucliers, attendent le choc[22]. Il semble que l'image ait quelque chose de juste dans la mesure où c'est bien la solidité des lignes franques qui impressionna les troupes arabo-berbères. La mêlée s'engage et les Francs parviennent à faire refluer leurs opposants. Mais ceux-ci n'ont pas l'occasion d'attaquer une seconde fois car de son côté Eudes prend l'ennemi à revers et se jette sur le camp musulman. Croyant leur butin et leurs familles[23] menacés, les combattants Maures regagnent leur campement. Ils subissent de lourdes pertes et 'Abd el Rahman est tué.

Le lendemain, au point du jour, Charles donne l'ordre d'attaquer, mais le camp est vide, les musulmans se sont enfuis dans la nuit[21]. Selon une légende locale à la région du Haut Quercy, Abd el Rahman n'aurait pas été tué à la bataille de Poitiers mais aurait simplement reflué vers ses bases arrières de Narbonne. Poursuivi par les troupes franques de Charles Martel, il aurait été tué et son armée exterminée lors d'une bataille livrée à Loupchat au pied de la falaise du Sangou, dans le Lot, en 733. L'Hôtel de ville de la commune de Martel aurait été construit, selon aussi une légende locale, sur le lieu même de la bataille[24]. Charles fut alors acclamé sous le nom de Martel : « marteau des infidèles

cela se passait en l'an 732


la conquete de l'algerie

La conquête de l'Algérie par la France se réalise en plusieurs étapes distinctes, du débarquement de l'Armée d'Afrique à Sidi-Ferruch le 14 juin 1830, commandée par Bourmont, jusqu'à la reddition formelle de l'émir de Mascara, Abd el-Kader, au Duc d'Aumale le 23 décembre 1847. Cette conquête se conclut par l'annexion de l'Algérie à la République française par la création des départements français d'Algérie en 1848.

Durant le XIXe siècle, les puissances coloniales européennes tentent d'asseoir leur influence en Afrique du Nord. Lors de la conquête de l'Algérie, la France obtient du Maroc une promesse de neutralité (1832). Mais en 1839, le sultan Abd el-Rahman soutient l'action de l'émir algérien Abd el-Kader, le conflit algérien s'étend dans les provinces marocaines. L'armée marocaine est défaite par les troupes françaises du maréchal Bugeaud à l'Isly le 17 août 1844. Le traité de Tanger, du 10 septembre 1844, met hors la loi Abd el-Kader et définit la frontière entre les deux pays.

Conférence d'Algésiras;


Du 7 janvier au 6 avril 1906, à la suite de l'affaire de Tanger, se tient à Algésiras, au sud de l'Espagne, une conférence internationale sur le Maroc afin d'apaiser les tensions entre les différentes puissances qui se disputent le pays. Elle rassemble douze pays européens et les États-Unis. Cette conférence confirme l'indépendance de l'Empire chérifien, mais rappelle le droit d'accès de toutes les entreprises occidentales au marché marocain, et reconnaît à l'Allemagne un droit de regard sur les affaires marocaines. Toutefois, au grand dam de Guillaume II, la France et l'Espagne se voient confier la sécurité des ports marocains et un Français est chargé de présider la Banque d'État du Maroc. La police franco-espagnole des ports, dirigée par un haut-commissaire suisse, est créée officiellement pour assurer l'ordre dans l'ensemble des ports marocains ouverts au commerce extérieur.

En 1909, l'Espagne étend sa zone d'influence à tout le Rif, afin de contrôler ses mines de fer. Les troupes du général Diaz-Ordonez se heurtent néanmoins à une vive résistance des tribus.

On ne reproche pas beaucoup aux espagnols ce qu'ils ont fait en afrique , toujours les Francais et encore les Francais!


Incident d'Agadir (1911



En juillet 1911, l'Allemagne provoque un incident militaire et diplomatique avec la France, le coup d'Agadir (ou crise d'Agadir), en envoyant une canonnière (navire léger armé de canons) de sa Kaiserliche Marine dans la baie d'Agadir. Aux termes d'âpres négociations, l'Allemagne renonce à être présente au Maroc en échange de territoires en Afrique équatoriale. Un traité franco-allemand est signé le 4 novembre 1911, laissant les mains libres à la France au Maroc. Tout est désormais en place pour que la France puisse installer son protectorat sur le Maroc

personne n'ose insulter l'allemagne et cracher dessus comme certains le font sur la France pourtant....

ils etaient eux aussi la bas!

Les protectorats français et espagnol (1912 - 1956;


Depuis 1902, la pénétration économique et militaire européenne s’est intensifiée au point que le sultan Moulay Abd al-Hafid, frère de Moulay Abd al-Aziz, est contraint de signer en 1912 le traité de protectorat qu’est la convention de Fès.

Le traité institue, à partir du 30 mars 1912 le régime du protectorat français. En octobre de la même année, le sous-protectorat espagnol est mis en place sur le Nord du Maroc.


Boulevard de la Gare - (actuellement Mohammed-V) à Casablanca, vers 1920.En zone française le pouvoir exécutif est incarné par le résident général, représentant de la France, qui dispose d'une assez large liberté de manœuvre. Le sultan et son makhzen sont maintenus comme éléments symboliques de l'Empire chérifien, l'autorité réelle étant exercée par le résident et ses fonctionnaires et officiers (contrôleurs civils et militaires). Suite au départ de Lyautey en 1925, la résidence devient néanmoins sensible aux pressions exercées par les puissants lobbys coloniaux, représentés par les patrons de la grande industrie et les chambres d'agriculture. Le Maroc connaît en effet une expansion économique importante, illustrée par le développement fulgurant de Casablanca et de plusieurs infrastructures (routes, voies ferrées, barrages, usines, urbanisation) en règle générale. Par conséquent, se forme un puissant milieu capitaliste européen qui dispose de groupes de pression parfaitement organisés, aussi bien à Rabat qu'à Paris. Un tel essor économique accroît évidemment le fossé des inégalités, et à l'exception d'une poignée de dignitaires locaux liés à la résidence, le peuple marocain subit le sort dramatique d'oppression et d'exploitation partagé par tous les autres peuples colonisés. Une politique de colonisation de peuplement inspirée par l'exemple de l'Algérie française se met également en place, encouragée par les résidents successifs. À la veille de l'indépendance en 1956, la population européenne du protectorat s'élève ainsi à 400 000 personnes[66]. C'est de cette époque que datent les grandes entreprises-clés de l'économie marocaine, tels que le groupe ONA et l'Office chérifien des phosphates et de manière plus globale d'importantes données sociales et politiques du Maroc contemporain.

La France coloniale na pas seulement pris elle a aussi beaucoup laissé sur place ,tout ce qu'elle a construit

quand a l'Espagne


La zone espagnole dispose d'une organisation assez semblable à la zone française, avec un résident général nommé par Madrid. Le sultan est représenté par un khalifa, lequel réside à Tétouan, capitale du protectorat hispanique. Ce territoire ne connaît pas de développement économique comparable à la zone française, mais joue un rôle décisif dans l'avenir de l'Espagne. C'est en effet depuis Tétouan et Melilla qu'éclate le coup d'État (pronunciamento) du général Franco, commandant des troupes coloniales du Maroc (Légion espagnole des tercios et unités regulares) contre la République espagnole le 17 juillet 1936. Cet événement marque le début de la guerre civile espagnole.

ils n'ont pas laissé grand chose!


le reste, on connait l'histoire; sauf que l'histoire actuelle est demesurée et les pays du maghreb se sentent obligés d'envahir une fois de plus la France mais aussi maintenant l'Amerique en imposant leur croyances leurs meurs et leur religion!

Pourtant ils se sont fait Tous envahirs par les Arabes qui leur ont imposé la religion musulmane mais pourquoi donc ILS ne leur rendent pas la monnaie de leur piece? et viennent s'imposer encore chez nous . une nouvelle bataille de poitiers?.. a reflechir avant de poster n'importe quoi de haineux sur les blancs de souches.
Revenir en haut Aller en bas
antitout
Modo
antitout


Nombre de messages : 147
Localisation : amerique du nord ouest
Date d'inscription : 20/11/2007

l'immigration c'est cela aussi Empty
MessageSujet: Re: l'immigration c'est cela aussi   l'immigration c'est cela aussi Icon_minitime11/4/2012, 20:11

citation de Manu.

Posté aujourd'hui à 01:01

On parle de quoi ici, d'immigration ou colonisation douce, je pencherais plus pour de la colonisation douce, mais de la colonisation quand même, car au final, nous allons perdre notre identité au profit de celle qui arrive en masse... Allons-nous finir comme les indiens d'Amérique, dans des réserves... ???

ah mais manu vla pas longtemps tu disais

Nous européens, pleurons de notre perte d'identité face aux diverses cultures qui viennent chez nous et finissent par leur grand nombre, à nous imposer leur culture au dépend de la notre... mais à quelque part, c'est un juste retour de bâton, car quand l'Europe colonisait à tout va et imposait sa culture de force, l'autre avait tout intérêt à accepter notre culture sous peine de se voir tuer, torturer, violer, vendre et utilisé comme esclave... L'européen s'est toujours imposer aux autres en se considérant chez lui partout où il pose le pied, maintenant on commence à voir les choses d'un autre point de vue, et on a encore de la chance, c'est en version light...


alors maintenant faut pas venir te plaindre et faudrait savoir ce que tu veut en fait?
Revenir en haut Aller en bas
 
l'immigration c'est cela aussi
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
On Vous Dit Tout :: Politique :: politique internationale-
Sauter vers: