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 Un informaticien se contamine par un virus

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Fleur de Diamant
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Fleur de Diamant


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MessageSujet: Un informaticien se contamine par un virus   Un informaticien se contamine par un virus Icon_minitime27/5/2010, 03:42

Citation :
Le premier homme contaminé par un virus informatique


En parvenant à inoculer un virus à son propre implant électronique
sous la peau, un informaticien britannique souhaite mettre en garde la
communauté scientifique contre les dangers potentiels que recouvre cette
technologie.





Un informaticien se contamine par un virus Coeur-
Le Dr Mark Gasson prétend être le premier homme touché par un virus
informatique. Dans le cadre de ses recherches sur les implants
électroniques, l'universitaire britannique de Reading s'est en effet
lui-même inoculé un virus informatique : il a contaminé la puce
sous-cutanée qu'il s'était greffée dans la main gauche un an auparavant.
Cette opération de piratage, tout à fait bénigne sur le plan sanitaire,
pose d'importantes questions de sécurité concernant l'usage, notamment à
des fins médicales, des puces de radio-identification (appelés
communément RFID pour Radio Frequency IDentification). La puce
RFID du Dr Mark Gasson est un peu plus sophistiquée que celle que l'on
trouve sur les étiquettes dans les magasins, mais son principe de
fonctionnement est le même. Elle contient une antenne qui lui permet
d'envoyer les informations qu'elle contient et d'en recevoir
(généralement des données d'identification accompagnées de quelques
données complémentaires). La puce de l'universitaire lui permettait par
exemple, outre son utilisation dans ses recherches, de rentrer dans son
bâtiment à l'université et de se servir de son téléphone portable. Risques d'insécurité accrus

«Nous avions montré que
ces technologies implantables s'étaient développés à un point où elles
étaient capables de partager, stocker et manipuler des données»,
explique le chercheur. Rien d'étonnant alors à ce que ces
«mini-ordinateurs» puissent être touchés par des virus et capables de
les transmettre. En effet, non seulement la puce a été infectée, mais
elle a effectivement corrompu le système central avec lequel elle
communiquait. Si celui-ci n'était pas isolé, il aurait alors contaminé
toutes les puces qui seraient entrées en contact avec lui et l'infection
se serait propagée. «Cela donne un aperçu des problèmes que nous
pourrions rencontrer à l'avenir», explique le Dr Grasson. L'objectif de
l'expérience, dont les résultats complets seront présentés en Australie
la semaine prochaine à l'occasion de l'International Symposium on
Technology and Society, est justement de mettre en garde contre les
dangers potentiels de ces puces afin qu'elles puissent être utilisées en
toute sécurité dans le futur. En 2006 des chercheurs néerlandais
avaient déjà créé des puces capables de perturber les systèmes de
lecture et d'insérer des informations erronées, voire des lignes de
codes malveillantes, dans des bases de données. De son côté le ministère
de l'intérieur américain déconseillait la même année l'identification
humaine par RFID, jugeant qu'elle «aurait plutôt tendance à accroître
les risques en matière de sécurité et de protection des données
personnelles». Cette fois-ci, c'est une véritable menace virale
(au sens informatique du terme) qui a été mise en évidence, ainsi que la
capacité que pourrait avoir une personne mal intentionnée de perturber
le fonctionnement d'un implant sous-cutanée. «J'ai ressenti cette
expérience comme une surprenante violation de mon intimité, confie Mark
Grasson. L'implant fait partie de moi et pourtant j'étais dans
l'incapacité totale de contrôler la situation.»

Je trouve que c'est quelqu'un de censé qui n'a pas utilisé d'animal pour se faire. J'espère pour lui, qu'il connaît l'antidote de ce virus !
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